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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/23

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

Chambre donne aujourd’hui à son neveu, pour qu’il fasse oublier à la France ce dont son oncle voulait qu’elle se souvînt.

Vous ne croiriez pas une chose, mon cher ami, c’est que ces deux mots que je viens d’avoir l’imprudence de prononcer : la Chambre, me ramènent tout droit aux Mémoires du marquis d’Argenson.

— Comment cela ?

— Vous allez voir.

« On se plaint, dit-il, qu’il n’y a plus de conversation de nos jours en France.