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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/231

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

— Mais comment, à cette heure ?

— Vous avez une carte et mon bras.

— Vous avez raison. — Ma carte.

Je la lui donnai ; elle la mit dans sa poitrine.

— Maintenant, votre bras.

Je lui donnai mon bras, et nous partîmes.

Nous descendîmes jusqu’à la place Taranne, c’est-à-dire jusqu’à l’endroit où je l’avais rencontrée la veille.

— Attendez-moi ici, me dit-elle.