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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/235

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

Le père et la fille se regardèrent.

— Je crois qu’il serait plus prudent de vous y rendre dès ce soir, mon père, dit Solange.

— Soit. Mais si l’on m’arrête, je n’ai pas de carte de civisme.

— Voici la mienne.

— Mais, vous ?

— Oh ! moi, je suis connu.

— Où demeure Marceau ?

— Rue de l’Université, no 40, chez sa