Aller au contenu

Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/283

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
270
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

napé, était retombée au milieu de ses coussins, et n’avait donné signe d’existence que par un soupir ; le commissaire de police, qui ne voyait pas dans tout cela matière à verbaliser, ne soufflait pas le mot. — Pour mon compte, je notais tous les détails de la catastrophe dans mon esprit, afin de les retrouver, — s’il me plaisait de les raconter un jour, et, quant à Alliette et à l’abbé Moulle, l’aventure rentrait trop complètement dans leurs idées pour qu’ils essayassent de la combattre.

Au contraire, l’abbé Moulle rompit le premier le silence, et, résumant