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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/301

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

— John, lui dis-je, ne voyez-vous rien sur mes genoux ?

John me regarda. Puis, comme un homme qui prend une résolution :

— Si, monsieur, dit-il, je vois un chat.

— Je respirai.

Je pris, le chat, et lui dis :

— En ce cas, John, portez-le dehors, je vous prie.

Ses mains vinrent au-devant des miennes ; je lui posai l’animal sur les bras, puis, sur un signe de moi, il sortit.