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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/317

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

Je ne sentis rien, mais dans la glace je le vis debout derrière moi.

Comme la veille, je me couchai, mais à une heure du matin seulement. Aussitôt que je fus dans mon lit, je le vis dans mon fauteuil.

Le lendemain au jour il disparut.

La vision dura un mois.

Au bout d’un mois, elle manqua à ses habitudes et faillit un jour.

Cette fois, je ne crus plus, comme la première, à une disparition totale, mais à quelque modification terrible, et, au