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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

retraite qui s’était déjà emparé de moi depuis plus de deux heures, c’était un chemin creux qui, me dérobant aux regards des autres chasseurs, devait me ramener par la route de Sceaux droit à Fontenay-aux-Roses.

Je ne me trompais pas. — À une heure sonnant au clocher de la paroisse, j’atteignais les premières maisons du village.

Je suivais un mur qui me paraissait clore une assez belle propriété, lorsqu’en arrivant à l’endroit où la rue de Diane s’embranche avec la Grande-Rue, — je vis venir à moi, du côté de l’église,