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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/75

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

peu près, nous arrivâmes à l’impasse des Sergens. — C’était une petite ruelle située à gauche de la Grande-Rue, et qui allait en descendant jusqu’à une grande porte de bois délabrée, s’ouvrant à la fois par deux grands battants, et une petite porte, découpée dans un des deux grands battants.

Cette petite porte ne tenait plus qu’à un gond.

Tout, au premier aspect, paraissait calme dans cette maison ; un rosier fleurissait à la porte, et, près du rosier, sur un banc de pierre, un gros chat roux se chauffait avec béatitude au soleil.