Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome II.djvu/107

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
96
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

de la ville, et j’arrivai à la porte de Paris. — Passé onze heures du soir, c’était la seule porte d’Étampes qui restât ouverte.

Le but de mon excursion était sur une esplanade, qui aujourd’hui comme alors domine toute la ville. Seulement aujourd’hui il ne reste d’autres traces de la potence, qui alors était dressée sur cette esplanade, que trois fragments de la maçonnerie qui assurait les trois poteaux, reliés entre eux par deux poutres, et qui formaient le gibet.

Pour arriver à cette esplanade, située à gauche de la route, quand on vient d’Étampes à Paris, et à droite quand on vient de Paris à Étampes, pour arriver