Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome II.djvu/116

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
105
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

ses sens, toussa, tourna le cou en toussant, et finit par me regarder en face.

Son étonnement ne fut pas moins grand que l’avait été le mien.

— Oh ! oh ! monsieur l’abbé, dit-il, c’est vous ?

— Oui, c’est moi

— Et que venez-vous faire ici ? me demanda-t-il.

— Mais vous-même ?

Il parut rappeler ses esprits. Il regarda encore une fois autour de lui ; mais, cette fois, ses yeux s’arrêtèrent sur le cadavre.

— Ah ! dit-il en essayant de se lever,