Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome II.djvu/119

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
108
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

— Mais parce qu’il est mort, dis je.

— Mort ! répéta le bourreau. Mort ! ah ! diable ! c’est bien pis ; alors sauvons-nous, monsieur l’abbé, sauvons-nous.

Et il se leva.

— Non, par ma foi ! dit-il, j’aime encore mieux rester, il n’aurait qu’à se relever et à courir après moi. — Vous, au moins, qui êtes un saint homme, vous me défendrez.

— Mon ami, dis-je à l’exécuteur en le regardant fixement, il y a quelque chose là-dessous. Vous me demandiez tout à l’heure ce que je venais faire ici à cette