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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

Grégoriska entra.

— Ah ! madame, je suis heureux que vous parliez français.

— Et moi aussi, monsieur, lui répondis-je, je suis heureuse de parler cette langue, puisque j’ai pu, grâce à ce hasard, apprécier votre généreuse conduite vis-à-vis de moi. — C’est dans cette langue que vous m’avez défendue contre les desseins de votre frère, c’est dans cette langue que je vous offre l’expression de ma sincère reconnaissance.

— Merci, madame. — Il était tout simple que je m’intéressasse à une femme, dans la position où vous vous trouviez. Je chassais dans la montagne lorsque