Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
215
LES MILLE ET UN FANTÔMES.
J’ouvris ma fenêtre ; elle donnait sur un précipice.
Je compris que Grégoriska avait fait de cette chambre un choix réfléchi.
Enfin, en revenant à mon sopha, je trouvai sur une table placée à mon chevet un petit billet plié.
Je l’ouvris, et je lus en polonais :
« Dormez tranquille, vous n’aurez rien à craindre tant que vous demeurerez dans l’intérieur du château. »
« Grégoriska. »
Je suivis le conseil qui m’était donné, et, la fatigue l’emportant sur mes préoc-