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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

J’ouvris ma fenêtre ; elle donnait sur un précipice.

Je compris que Grégoriska avait fait de cette chambre un choix réfléchi.

Enfin, en revenant à mon sopha, je trouvai sur une table placée à mon chevet un petit billet plié.

Je l’ouvris, et je lus en polonais :

« Dormez tranquille, vous n’aurez rien à craindre tant que vous demeurerez dans l’intérieur du château. »

« Grégoriska. »

Je suivis le conseil qui m’était donné, et, la fatigue l’emportant sur mes préoc-