Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome II.djvu/234

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
223
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

n’était pas assez, j’avais besoin d’être convaincue, — lorsqu’un soir, comme je venais de rentrer dans ma chambre, j’entendis frapper doucement à l’une de ces deux portes que j’ai désignées comme fermant en dedans ; à la manière dont on frappait, je devinai que cet appel était celui d’un ami. Je m’approchai, et je demandai qui était la.

— Grégoriska, répondit une voix, à l’accent de laquelle il n’y avait pas de danger que je me trompasse.

— Que me voulez-vous ? lui demandai-je toute tremblante.

— Si vous avez confiance en moi, dit Grégoriska, si vous me croyez un hom-