Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome II.djvu/296

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
285
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

lant, qu’au contact de ce noble cœur, la vie rentrait dans mes veines. Je me croyais certaine de triompher, puisque Grégoriska était avec moi ; nous remontâmes dans ma chambre.

Huit heures et demie sonnaient.

— Hedwige, me dit alors Grégoriska, nous n’avons pas de temps à perdre. Veux-tu t’endormir comme d’habitude, et que tout se passe pendant ton sommeil ? Veux-tu rester éveillée et tout voir ?

— Près de toi, je ne crains rien, je veux rester éveillée, je veux tout voir.