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LES MILLE ET UN FANTÔMES.
lant, qu’au contact de ce noble cœur, la vie rentrait dans mes veines. Je me croyais certaine de triompher, puisque Grégoriska était avec moi ; nous remontâmes dans ma chambre.
Huit heures et demie sonnaient.
— Hedwige, me dit alors Grégoriska, nous n’avons pas de temps à perdre. Veux-tu t’endormir comme d’habitude, et que tout se passe pendant ton sommeil ? Veux-tu rester éveillée et tout voir ?
— Près de toi, je ne crains rien, je veux rester éveillée, je veux tout voir.