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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

rière le dais dont j’ai parlé, et qui coupait l’angle de ma chambre.

Je comptais les minutes, et sans doute Grégoriska les comptait aussi de son côté.

Les trois quarts sonnèrent.

Le retentissement du marteau vibrait encore, que je ressentis ce même engourdissement, cette même terreur, ce même froid glacial ; mais j’approchai le rameau béni de mes lèvres, et cette première sensation se dissipa.

Alors, j’entendis bien distinctement le bruit de ce pas lent et mesuré qui reten-