Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome II.djvu/304

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
293
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

faisant un effort suprême pour s’emparer de moi.

— Seul ! s’écria à son tour Grégoriska ; cette femme m’appartient.

Et, en prononçant ces paroles, du bout du fer béni il toucha la plaie vive.

Kostaki poussa un cri comme si un glaive de flamme l’eût touché, et, portant la main gauche à sa poitrine, il fit un pas en arrière.

En même temps, et d’un mouvement qui semblait être emboîté avec le sien, Grégoriska fit un pas en avant ; alors, les yeux sur les yeux du mort, l’épée sur la