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Page:Dumas fils - La Dame aux camélias, 1852.djvu/366

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l'ambassade, que j’avais vu quelquefois chez Marguerite, la maladie de la pauvre fille.

Je lui écrivis alors la lettre à laquelle elle a fait la réponse que vous connaissez et que je reçus à Toulon.

Je partis aussitôt et vous savez le reste.

Maintenant, il ne vous reste plus qu’à lire les quelques feuilles que Julie Duprat m’a remises et qui sont le complément indispensable de ce que je viens de vous conter.