Page:Dumont - Brest, 1833.djvu/8

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À LA PATRIE.

Mère d’un grand Peuple,

Toi, qui vois en moi un de tes enfans les moins favorisés des biens de la fortune ; mais un des plus riches en nobles sentimens, en pensées généreuses, en zèle pour ta gloire et ta prospérité ; ô Patrie ! entends ma voix !