par superfétation, ce sentiment à l’animalité
humaine, toute spiritualisée qu’elle puisse être,
est subordonné à un penchant de la nature, on
observerait les mêmes prédispositions érotiques
canines, mais uniquement aux époques du rut,
dans l’homme et dans les animaux, tandis que
l’excitation sexuelle est permanente en l’être
humain.
Il est évident qu’il manque quelque chose d’essentiel pour lier la mixture alchimicale des apothicaires de l’Université.
Ils n’ont oublié qu’une seule chose, c’est qu’avant tout l’homme est un cerveau.
Peut-être le savent-ils, mais ils sont liés par le pacte réactionnaire, par l’absolu doctrinaire universitaire. Comme les jurisconsultes, ils en sont encore au lit de Procuste, à la métaphysique moyenâgeuse, alors qu’avec la théologie de l’absurde on satisfaisait Dieu et le diable, source d’où découlent les extravagances du lien conjugal, la chaîne des forçats de l’amour. Le cerveau, l’esprit, était d’invention diabolique.
Cependant tout l’homme est là. Le siège de l’amour, de l’attraction et des combinaisons spéculatives voluptueuses, qu’on le nomme