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BAAL

cette chaleur mystérieuse, à cette lumière inconnue, à tant de contacts secrets qui ne sont vraiment pas du monde qu’étudient les chimistes, les biologistes et les physiciens.

J’ai dit que certaines passions animent mon Au-Delà. L’une, surtout, pour honnie qu’elle soit partout (les mots ne savent pas encore résister à la sottise qui les accole) remplit ce livre de sa véhémence âpre et mystique. C’est la passion sur laquelle, dit Platon, règne le premier des fils de l’Absolu : Eros.


Renée Dunan