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TROISIÈME PARTIE

Lupanar


XVII

Amande se décide


Rentrée chez elle, la jeune femme, qui avait d’ailleurs traité son mari sans colère, se trouva pourtant irritée et dépourvue cette fois de son rire coutumier.

Comment se faisait-il que cet Adalbret, qu’elle avait pris, en se mariant avec lui, pour un homme de délicatesse moyenne, et dépourvu de tous grands vices, pût prendre du plaisir avec cette caricature recrutée dans une rue perdue du quartier de la Goutte d’Or ?

Question insoluble et agaçante, qui, sans