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Page:Duplessis - Aventures mexicaines, 1860.djvu/137

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— El señor Tecualtiche, répondit Cota.

Les deux rivaux attendirent : la porte ne s’ouvrit pas.

— Je vois que nous n’avons rien à nous envier, cher ami dit Cota. Puis, élevant la voix, il ajouta : Si la señorita Lola n’est pas encore couchée, dites-lui que le Tecualtiche et Cota désirent lui parler.

— Ah ! vous êtes deux !… s’écria la voix. Alors, c’est différent ; ma maîtresse peut vous recevoir. »

En effet, la porte s’ouvrit aussitôt, et les deux rivaux entrèrent.