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IV
Le lendemain des événements que nous venons de raconter, le domestique Jose entra, vers sept heures du matin, dans la chambre de son maître. Cota semblait dormir d’un profond sommeil ; toutefois à peine son fidèle serviteur eut-il fait deux pas, qu’il ouvrit aussitôt les yeux.
— Que veux-tu, Jose ? lui demanda-t-il.
— Je viens solliciter de votre seigneurie une faveur, la prier de me prêter pour ce matin le cheval qu’elle m’a gagné.