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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/272

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ma reconnaissance. Cette main que je vous offre est celle d’un ami qui vous sera désormais fidèle et dévoué.

— Je vous remercie de l’honneur que vous me faites, mylord, mais je ne puis l’accepter, répondit Kirke à voix basse et en reculant d’un pas. Oh ! ne voyez point une injure là où il n’y a qu’une preuve d’estime et de franchise. J’ai des principes à moi, principes bizarres peut-être, mais fermement arrêtés. Non, pour rien au monde je ne voudrais serrer la main d’un homme avec l’arrière-pensée que plus tard… que bientôt peut-être je me trouverai en face de lui l’épée au poing… Ce n’est pas, je vous le répète,