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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/32

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sion, devait lui donner les ailes de l’oiseau.

Un instant après, des dés que Fitzgerald avait, déclarait-il, trouvés dans le tiroir d’un meuble du salon, mais qu’en réalité il avait retirés de sa poche, roulaient sur la table, entre les verres et les flacons vides.

Le jeu, pendant deux ou trois minutes, sembla se poursuivre avec des chances égales avec des péripéties diverses. Enfin, après un coup heureux joué par Fitzgerald, le capitaine prit le poignard et le