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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/65

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bondissait, un pistolet à la main, dans la funèbre pièce.

C’était Fitzgerald.

Son visage était presque aussi pâle que celui du vieillard et de son assassin, tous deux étendus sans vie devant lui.

Il jeta de tous côtés un regard où l’étonnement se mêlait à la fureur.

— Malédiction ! s’écria-t-il, il s’est enfui !