Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/198

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forceront pas !… Au revoir, monsieur de Barillon, au revoir.

Le roi conduisit le ministre français jusqu’à la porte de son cabinet, le salua de la main tandis qu’il sortait, et revenant brusquement vers Churchill :

— Eh bien ! dit-il avec humeur, il est toujours orgueilleux et superbe ce soleil de Versailles ? Tu viens de le voir de près, toi ! Qu’est-ce que tu en dis ? es-tu content ? dis, l’es-tu ? comment Louis XIV t’a-t-il traité ?… pas bien, hein ? Conte-moi tout, parce que je suis décidé à faire tout juste