Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/257

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— C’est de lui que je tiens tout ce que vous voyez. Oh ! c’est une histoire curieuse que je vous conterai quelque jour. Oui, oui, je le connais, et c’est tant mieux pour vous, sir Henri !

— Et tant pis pour vous, ma pauvre enfant !

— Ah ça, voyons, monsieur, vous ne me croyez donc pas ? je suis donc une menteuse à vos yeux ? Quand je vous dis qu’il n’y a rien, absolument rien de commun entre Chiffinch et moi ; que les heures qu’il passe ici, il les passe là, couché à mes