Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/97

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tudes et des doutes dont elle était assigée.

Enfin, prenant son parti, elle se leva vivement de son fauteuil, s’assit devant un riche guéridon placé dans un des angles du salon et se mit à écrire une lettre. Quelques minutes lui suffirent pour la terminer.

Alors, soit qu’elle craignît, soit qu’elle voulût prévenir de nouvelles et pénibles hésitations, elle la ferma et la cacheta brusquement, — sans la relire, — sonna sa domestique, et lui remettant la lettre :