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menait avec agitation dans sa chambre. Il se disait que ce jour-là était le dernier qu’il pouvait passer en sûreté à Londres. Tous ses plus importants préparatifs de départ étaient faits. Il consultait fréquemment sa montre et semblait attendre avec impatience que la matinée fût assez avancée pour achever ce qui lui restait à faire. Et puis il songeait à Lucy, et c’était l’avenir incertain de sa fille qui était l’objet de ses plus chagrines préoccupations. Après son enfant chérie, ce qui emplissait le plus sa pensée, étaient les chances, si douteuses pour lui, de l’entreprise à laquelle il allait prendre une si large part.
— Je ne puis reculer, se disait-il à lui-