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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/123

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sentiments contraires et violents que la réponse du Boucanier causa à de Morvan : c’était une joie délirante mêlée à un désespoir effrayant !

— Viendrez-vous ? lui demanda tranquillement Barbe-Grise.

— Partons ! s’écria de Morvan, qui après s’être habillé à la hâte, s’élança la tête nue vers la porte de sortie.

Barbe-Grise l’arrêta,

— J’ai faim et je suis fatigué, lui dit-