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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/179

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abattu près de trois cents taureaux sauvages, sans compter un nombre double de sangliers ! Demain soir, nous devons lever le camp, et nous enfoncer plus avant dans la savane ! Tu viens sans doute te joindre à nous ?…

— Non. Je suis en voyage.

— Seul ? demanda le Boucanier avec un étonnement marqué.

— Pas précisément, ces deux jeunes gens m’accompagnent, répondit Barbe-Grise, en désignant de Morvan et Alain.