Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/193

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engagés et les chiens, n’osant fuir sous les yeux de Desrosiers, qui leur eût fait plus tard payer bien cher cette faiblesse, déployaient une agilité rare, pour éviter les atteintes du taureau, sans trop s’éloigner de lui.

— Pourquoi donc cet homme n’abat-il pas le monstre ? demanda de Morvan à un engagé en lui désignant un de ses collègues que cinq pas à peine séparaient en ce moment du taureau.

À cette question, le serviteur du Boucanier montra une surprise extrême : on