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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/245

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canier à Antoine, siffle ta meute et suis-nous !…

— Je ne me refuse pas à vous suivre, mais je ne sifflerai pas ma meute tant que le corps de mon bien-aimé Jacques restera privé de sépulture, répondit le pauvre engagé ; je ne veux pas exposer M. Pierrot à la douleur que lui causerait la vue du cadavre de son frère. Et puis, si l’on me fusille, à quoi bon révéler la retraite où mes amis sont en sûreté !

Les Boucaniers, de retour à leur cam-