Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/84

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ton bonheur… Mon avenir ne m’appartient plus…

— Mon chevalier Louis, répondit Jeanne pensive, j’ai beaucoup réfléchi à notre position, et vraiment je trouve que nous aurions bien tort de nous affliger.

— Quoi ! Jeanne, ce fatal serment qui me lie !…

— À quoi t’engage ce serment, mon chevalier Louis ! À ne jamais te marier, n’est-ce pas ? Eh bien, veux-tu me promettre que tu ne te moqueras pas de moi,