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sait que le chevalier de Morvan est votre amant…
— C’est vrai, dit simplement Jeanne ; aussi suis-je bien heureuse.
Cette réponse contraria et enhardit l’étourdi.
— Alors, cher enfant, reprit-il, jouons cartes sur table. De Morvan n’est pas riche ; il doit se conduire avec vous d’une façon indigne… Moi, je possède une habitation qui vaut, à ce que prétend mon homme d’affaires, plus de cent