Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/235

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centaine de pas. Sans un rocher qui se trouvait par bonheur entre eux et la mitraille, pas un des quatre audacieux n’eût échappé aux dernières décharges que firent les Espagnols.

— Ah ! parbleu ! s’écria Ducasse d’un ton joyeux, il paraît que nous approchons ! il me semble apercevoir un pan de rempart ! Ma foi, non, c’est un rocher ! Nous faisons fausse route. Appuyons à droite, baron, toujours à droite, du côté de la mer, sans cela nous aurons continuellement la vue arrêtée par ce bloc de pierres.