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trarier le flibustier, du moins à en juger par le silence qu’il garda jusqu’à ce qu’ils furent arrivés au Gouvernement.
Montbars donna les chevaux à garder à Alain, et, se retournant vers son neveu :
— Cher Louis, lui dit-il, puisque tu aimes tant à voir les uniformes, suis-moi, je vais te présenter à Ducasse.
Ses salons doivent être encombrés d’officiers. Tu passeras un moment bien agréable.
Montbars, sans attendre le consente-