Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/145

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avec un calme plus effrayant, peut-être encore que ne l’avait été l’explosion de sa colère, commences-tu à reconnaître que ce que je dis je le fais ?

— Je reconnais que tu es un assassin !

Le flibustier éclata de rire.

— Vraiment, j’admire ton impudence, dit-il, c’est trop garder rancune à mon fourreau !… concluons !… De deux choses l’une : tu vas accepter ou refuser mes conditions ; dans le premier cas, je te