Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/15

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il résolut de se débarrasser, au prix de n’importe quel sacrifice pécuniaire, de la présence de ses désagréables visiteurs.

Néanmoins la haine qu’il ressentait pour les Français était si vive, qu’il ne put prendre sur lui d’adresser courtoisement la parole à ceux dont son sort dépendait.

Ce fut d’un ton rogue et hautain qu’il entama la conversation :

— La capitulation signée d’hier aurait