Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/183

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

les minutes valent pour moi des années !

Le canot n’avait pas encore touché le quai, que Montbars, prenant son élan, était sauté à terre.

— Aux armes, amis ! s’écria-t-il en s’adressant à un groupe de flibustiers qui, attirés par la curiosité, regardaient sans y rien comprendre la manœuvre de l’escadre.

À ce cri, les Frères-la-Côte tressailli-