Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/240

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De Montbars s’arrêta un moment, puis s’avançant vers de Pontis.

— Monsieur l’amiral, lui dit-il d’une voix douloureusement affectée, voici mon épée.

Le baron se redressa de toute sa hauteur, et repoussant, par un geste plein de dignité, l’épée que le flibustier lui présentait :

Au nom du roi mon maître, qui, par cette marque de clémence désire reconnaître la belle conduite de M. le che-