Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/242

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Le chevalier, au lieu de saisir la main que l’amiral lui tendait, se recula d’un pas !

— Amiral, demanda-t-il froidement, est-ce M. le baron de Pointis qui veut bien m’offrir son amitié, ou le fondé de pouvoirs du roi qui me parle au nom de son maître !

— C’est le baron de Pointis, monsieur…

— Alors, monsieur, le baron, je re-