Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/253

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n’avait plus de ces doux et joyeux sourires qui jadis faisaient épanouir ses lèvres.

En proie à une tristesse qu’elle essayait en vain de cacher, souvent de Morvan la surprenait les yeux baignés de larmes.

Aux tendres reproches qu’il lui adressait alors sur le manque de confiance qu’elle lui montrait, Fleur-des-Bois se contentait de répondre qu’elle était parfaitement heureuse, puis elle trouvait un prétexte pour s’éloigner, afin d’éviter de nouvelles questions.