Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/265

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pillée en règle, de fond en comble ; que nous n’y avons laissé ni une once d’or, ni une pierre précieuse. Ton projet ne vaut rien.

— Ton observation, répondit Laurent en se retournant vers l’interrupteur, ne prouve qu’une chose, c’est que les intérêts de nos frères sont mieux placés dans mes mains qu’ils ne le seraient dans les tiennes !… Attends, pour m’adresser d’autres objections, que je me sois complètement expliqué ! Je continue !… Lorsque nous nous sommes emparés, avec l’armée royale, à jamais maudite, de