Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/35

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À peine le jeune homme eût-il prononcé cet arrêt que les flibustiers, frémissants d’impatience, se mirent en devoir de l’exécuter.

Les apprêts du supplice ne furent pas longs, ils enfoncèrent dans le sol, à distances égales, quatre baïonnettes, puis ils étendirent Sandoval par terre et attachèrent solidement ses membres aux tiges de fer.

— Amis, leur dit Montbars, ce monstre n’est pas digne de mourir de vos mains !… Allez chercher ses esclaves !…