Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XII, 1853.djvu/120

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Frères-la-Côte en étaient venus aux mains.

À la fin Montbars arriva.

— Eh bien ? s’écria de Morvan en s’élançant à sa rencontre.

— Eh bien ! répondit le flibustier, il m’a été impossible de rencontrer Laurent ; je crains bien qu’il ne soit trop tard !… J’ai remarqué également l’absence de plusieurs Frères-la-Côte en qui j’ai une médiocre confiance… Je ne serais nullement étonné que Laurent fût parti… Pierre