Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XII, 1853.djvu/227

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flibuste, un moment menacée par l’insigne trahison et la coupable ambition de Montbars, renaîtra plus belle et plus brillante que jamais !… Frères-la-Côte, vive l’or et la liberté !… Au trésor ! au trésor !…

Les complices de Laurent accueillirent avec des cris d’enthousiasme les paroles du Frère-la-Côte ; puis, agitant les torches dont ils étaient armés, ils répétèrent en s’élançant à sa suite : « Au trésor, au trésor ! »

L’endroit choisi jadis par les initiés pour déposer les fonds de l’association