Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XII, 1853.djvu/279

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Montbars, la pensée de te demander grâce ne s’est pas même présentée à mon esprit.

Laurent, vivement agité se mit à se promener de long en large dans l’étroit réduit. Montbars, un sourire de contentement sur les lèvres, suivait ses moindres mouvements et ne le perdait pas une seule seconde de vue.

— Eh bien ! s’écria bientôt Laurent en se croisant les bras, j’attends ! Qui te retient d’accomplir ta menace ?…

— Le respect de moi-même, lui ré-